Filtrer
Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Éditeurs
Langues
Prix
Don Quichotte
-
" Virgil ne sentait plus ses jambes. Elles étaient restées trop longtemps croisées l'une sous l'autre, tels la faucille et le marteau des drapeaux rouges de son enfance.
Il n'osait pas bouger. Le chien, un bâtard gris aux crocs jaunes, rôdait toujours. Prudemment, il tendit la main et chercha la portée de mulots. La chaleur de leurs poils gris le réconforta. L'un des petits lui téta le bout du doigt. Il en compta six, plus la mère. Le père était absent - comme lui.
Avant, en Moldavie, il adorait les chiens et détestait les mulots. Mais depuis son arrivée en France, beaucoup de choses s'étaient inversées.
Ici, il construisait des maisons et habitait dehors. Se cassait le dos pour nourrir ses enfants sans pouvoir les serrer contre lui et se privait de médicaments pour offrir des parfums à une femme dont il avait oublié jusqu'à l'odeur.
Il ferma les yeux un instant et imagina la grande marmite de bordj cuire à feu doux dans la cuisine du petit village de Corjeuti. Derrière les vitres embuées, la tonnelle ombrageait un minuscule bout de jardin. La vision lui emplit le coeur, mais pas le ventre.
Cela faisait deux mois maintenant qu'il vivait tapi dans un trou. Une tombe d'un mètre quatre-vingt-dix sur un mètre de large et un mètre de profondeur, creusée à la main au beau milieu de la forêt, et recouverte d'un toit de branches et de feuilles.
Le jour, il y enfouissait ses affaires. La nuit tombée, il s'y enterrait vivant. Personne ne viendrait le chercher là, étouffé dans les broussailles, entre un tronc d'arbre couché par la dernière tempête et un entrelacs de branches mortes. "
-
" Quand j'ai eu douze ans, mes parents m'ont inscrite dans une école de riches. J'y suis restée deux années. C'est là que j'ai rencontré Ariane. Il ne me reste rien d'elle, ou presque. Trois lettres froissées, aucune image. Aucun résultat ne s'affiche lorsqu'on tape son nom sur Google. Ariane a vécu vingt ans et elle n'apparaît nulle part. Quand j'ai voulu en parler, l'autre jour, rien ne m'est venu. J'avais souhaité sa mort et je l'avais accueillie avec soulagement. Elle ne m'avait pas bouleversée, pas torturée, elle ne revient pas me hanter. C'est fini. C'est tout. "
Elles sont collégiennes et s'aiment d'amour dur. L'une vient d'un milieu modeste et collectionne les complexes. L'autre est d'une beauté vénéneuse et mène une existence légère entre sa piscine et son terrain de tennis. L'autre, c'est Ariane, jeune fille incandescente avec qui la narratrice noue une relation furieuse, exclusive, nourrie par les sévices qu'elles infligent aux autres. Mais leur histoire est toxique et porte en elle un poison à effet lent, mais sûr.
Premier roman sur une amitié féroce, faite de codes secrets et de signes de reconnaissance, à la vie à la mort. Myriam Leroy est journaliste, presse et radio, et écrit pour le théâtre. Elle habite Bruxelles.
-
Ce que tient ta main droite t'appartient
Pascal Manoukian
- Don Quichotte
- Fiction
- 12 Janvier 2017
- 9782359495928
" Si ce soir-là Charlotte n'était pas sortie dîner entre filles, si ce jour-là Karim n'était pas allé à la mosquée, jamais elle n'aurait déchiré sa robe, jamais il ne serait parti en Syrie. Ils promèneraient leur fille dans les allées du parc. Il lui achèterait des livres qu'elle laisserait traîner sur la table de nuit. Chaque jour elle serait plus belle. Chaque jour ils seraient plus amoureux. Ils boiraient du Sancerre au bonheur de leurs 30 ans, danseraient sur Christine and the Queens. La vie ne tient parfois qu'à un bas filé... "
Le miracle n'arrivera pas : cette nuit-là, Karim perd tout. Son désir de vengeance va le mener jusqu'aux ruines d'Alep, au cœur de la machine à embrigader de Daech. Là où se cachent les monstres, mais aussi les centaines d'égarés qui ont fait le mauvais choix pour de mauvaises raisons. Là où il faudra lutter pour ne pas ressembler aux bourreaux.
Un voyage réaliste au pays mal connu de l'embrigadement et de toutes
les violences.
Pascal Manoukian, ancien reporter de guerre, a dirigé l'agence
Capa. En 2013, il publie un récit, Le Diable au creux de la main, dûment
salué par la critique. Son premier roman, Les Échoués (2015), a reçu un
bel accueil auprès des lecteurs, des libraires et des médias. -
Un virus mortel et incurable a mis l'espèce humaine face au danger de l'extinction. Baobab, arbre premier, arbre éternel, arbre symbole de grande sagesse, prend la parole et réveille la mémoire de l'humanité. Sous son ombre fraîche, hommes, femmes, enfants pris dans la tourmente, combattants farouches pour la survie, vont confier leur lutte contre les ravages d'Ebola : le docteur en combinaison d'astronaute qui, jour après jour, soigne les malades sous une tente ; l'infirmière sage-femme dont les gestes et l'attention ramènent un peu d'humanité ; les creuseurs de tombes qui, face à l'hécatombe, enterrent les corps dans le sol rouge ; les villageois renonçant à leurs coutumes ancestrales afin de repousser Ebola...
Écrivaine ivoirienne, Véronique Tadjo a dirigé jusqu'en 2015 le Département de français de l'Université du Witwatersrand à Johannesburg. Ses livres sont traduits en plusieurs langues, du Royaume aveugle (1991) à L'Ombre d'Imana : Voyages jusqu'au bout du Rwanda (2001) et Reine Pokou, concerto pour un sacrifice (2005).pour lequel elle a reçu en 2005 le Grand Prix de Littérature d'Afrique noire.
-
" Ce matin, j'ai trouvé papa dans le lave-vaisselle.
En entrant dans la cuisine, j'ai vu le panier en plastique sur le sol, avec le reste de la vaisselle d'hier soir.
J'ai ouvert le lave-vaisselle, papa était dedans.
Il m'a regardé comme le chien de la voisine du dessous quand il fait pipi dans les escaliers. Il était tout replié sur lui-même. Et je ne sais pas comment il a pu rentrer dedans : il est grand mon papa. "
Simon, neuf ans, vit avec son père Paul et sa mère Carole dans un vaste appartement parisien. En fait, le couple n'en est plus un depuis longtemps, la faute au métier de Carole, qui l'accapare. Paul est écrivain, il écrit pour les autres. Carole est une femme d'affaires, elle passe sa vie en Australie, loin d'un mari qu'elle n'admire plus et d'un enfant qu'elle ne sait pas aimer. Le jour où Paul est interné pour dépression, Simon voit son quotidien bouleversé.
L'enfant sans mère est recueilli par Lola, grand-mère fantasque et jamais mariée, adepte des séances de spiritisme avec ses amies " les sorcières ", et prête à tout pour le protéger. Mais il rencontre aussi l'évanescente Lily, enfant autiste aux yeux violets, que les couloirs trop blancs de l'hôpital font paraître irréelle et qui semble pourtant résolue à lui offrir son aide.
Porté par l'amour de Lily, perdu dans un univers dont le sens lui résiste, Simon va tâcher, au travers des songes qu'il s'invente en fermant les yeux, de mettre des mots sur la maladie de son père, jusqu'à toucher du doigt une vérité que l'on croyait indicible.
-
À mille lieues des visions paradisiaques de cartes postales, l'histoire de Phi Prob prend place à Sukhumvit, quartier chaud de Bangkok et zone privilégiée par les expatriés noctambules avides de chair et de substances illicites. Après deux années passées dans la région de l'Isan, Jeff, membre de la communauté des Farangs, expats installés en Thaïlande, vient de quitter précipitamment la province pour rejoindre ses vieux amis de la capitale : Alex l'alcoolique en perdition, Tonton René, Léo le vieux Chinois, Gérard le handicapé et Duncan l'Irlandais bodybuildé. Une nouvelle vie nocturne, rythmée par la gnôle et les néons, les courtisanes et les gogos, les salons de massage et les blowjob bars.
Cependant Jeff porte un lourd fardeau. Il a fui la campagne thaïlandaise, terrifié par Tai-Thung-Klom, l'esprit hideux de sa défunte épouse, morte en couches. Surtout, Jeff est à son tour infecté par Prob, un parasite redouté dans la province siamoise et connu pour s'approprier les êtres humains, ronger leurs entrailles, empoisonner leur conscience, jusqu'à la boulimie, le sadisme et le cannibalisme.
Au cours de son errance meurtrière, Jeff croise le chemin de Phi Noy, la jalousie incarnée dans le corps d'une jeune fille, célèbre en Thaïlande sous le nom de Phi Tani et réputée pour décapiter les " butterfly " - les hommes volages.
Un périple urbain et mystique, entre les Red-light districts de la cité des Anges et les rues sulfureuses de Pattaya City, la Sodome et Gomorrhe du Siam.
-
Là où tout a commencé... Peu avant l'élection présidentielle, le gouvernement a rompu les négociations avec les FARC et celles-ci ont enlevé I. Betancourt. En coulisses, politiques, cadres de l'armée et grands industriels colombiens manoeuvrent pour éradiquer la plus vieille guérilla d'Amérique latine, grâce au matériel militaire fourni par les États-Unis et à une désinformation via les médias dominants, qui présentent les FARC comme un simple cartel de drogue et taisent les massacres perpétrés par les paramilitaires, avec la complicité de l'armée, et la contestation sociale dans ce pays où misère et violence explosent.Car, en Colombie, prendre les armes, d'un côté ou de l'autre, est souvent la seule façon d'échapper à la pauvreté. À Vistabonita, village au coeur de la jungle colombienne, paysans et cultivateurs de coca s'accommodent de la présence des farianos, qui ont repris le contrôle des territoires autrefois sous la coupe des paramilitaires. Dans cette région isolée, les FARC suppléent au gouvernement et récoltent l'impôt. Les comandantes Olga, dont l'ex-compagnon guérillero a péri les armes à la main, et Demetrio gèrent la vie d'un de ces camps de subversivos en perpétuel mouvement. Hermanito, ancien militant communiste pour qui l'adaptation à la vie militaire n'a pas été sans peine, Zorani, l'infirmière, Milena, Jairo et les autres y poursuivent le combat au nom de la justice sociale, sans oublier de vivre, de rire, de s'aimer. Au village, certains habitants ont fraternisé avec la guérilla, comme Estefania, l'institutrice, ou Camilo et Juan Carlos, deux jeunes campaneros acquis à la révolution. Manuel le raspachine cultive quant à lui la coca sans trop se soucier de savoir à qui le trafic profite : il est amoureux de Jenny, qui a troqué son balai et une vie de misère contre une kalachnikov et la cause du peuple.Or la guerre les rattrape le jour où les paracos, avec la complicité de l'armée et de l'État, décident de reconquérir la région, à commencer par ce pueblo stratégique. La suite de l'histoire, seules ces pages nous la raconte, car la presse, complice par idéologie ou ignorante par confort, ne la rapportera jamais. « Heureusement [...], nous nageons là en pleine fiction. [...] Tout ceci n'est qu'un roman. »
-
" Les potos voulaient fe¿ter ma sortie de placard a¿ la Loco, la boite a¿ banlieusards de Pigalle. Simplement, de¿bouler a¿ sept paires de couilles sape¿es comme des scarlas, c'e¿tait su¿r qu'on allait se faire refouler comme des trimards. Re¿sultat, on pointe tous au Bois de Boubou. Perso c¿a m'arrange, j'e¿tais plus sauce¿ par une mission underground que par une session gue¿nave avec des michetonneuses de quinze piges. Quand j'ai propose¿ de bouger au Bois, j'ai pense¿ que les soces se de¿motiveraient. Mais nan, ce soir, c'est ma rapta.
Le seul truc qui leur a casse¿ les yeucs, ce sont les barrettes qu'on trimballait sur nous. Mais comme j'ai dit : on de¿barque au Bois, on planque le matos, on bicrave quelques morceaux et on tise tranquille. Les potos me font confiance depuis le bahut, ils savent qui est le boss et qui prend les initiatives. Je n'ai pas l'habitude de proposer des plans foireux, les srabs me connaissent, on a tous pousse¿ dans le me¿me tie¿que. "
Ainsi commencent les confessions du Boss, dealer officiel des prostitués(es) transsexuel(le)s, des michetons et vagabonds du Bois de Boulogne et des environs. À la tête du BDB-crew, une équipe organisée, constituée entre autres de Youssouf et Vamp ses fidèles lieutenants, Souleymane et Makita les mecs hardcore, Miki et Ahmé les jeunes guetteurs, le Boss s'impose comme le maître des lieux, pulvérise ses concurrents, s'éloigne de Smoke l'ancien grossiste du quartier et nargue Philippe, le condé.
Le business fait florès jusqu'au jour où Paola, un trans brésilien, véritable star du Bois, se fait assassiner. La police quadrille alors tout le secteur. Mauvais pour les affaires. D'autant que ce meurtre n'est que le premier d'une longue série.
-
Il existe, à quelques kilomètres de Paris, un lieu méconnu, même si des événements majeurs s'y sont déroulés : la cité de la Muette. À l'origine, elle devait être un fleuron de l'architecture française. Dessinée par deux grands architectes, elle représentait une réponse au Bauhaus allemand, et une révolution du logement populaire. Mais le chantier a été interrompu avant-guerre et, de 1941 à 1944, la Muette est devenue le camp de Drancy, administré par les gendarmes et les nazis. Depuis ces bâtiments, soixante-sept mille Juifs furent déportés.
Le destin de cette cité, qui concentre ce qu'on ne veut pas voir à la fois dans l'histoire et dans la société françaises, ne s'arrête pas là : après la Libération, elle a été aménagée pour y créer des logements sociaux. Les anciennes chambrées des détenus, cloisonnées à la va-vite pour faire des studios et des deux-pièces, sont encore habitées de nos jours.
Dans ce roman choral, l'auteur nous invite à suivre le parcours de deux personnages attachants, Elsa, détenue en 1943, et Nour, un jeune Beur d'aujourd'hui. Ils n'ont pas la même langue, pas le même rapport au désir ni à la mort, mais leurs histoires s'entremêlent et se répondent. Si bien qu'au croisement de leurs monologues, on croit entendre les voix de la Muette.
-
À l'orée des années 70, New York est au bord du gouffre. Dans le Bronx, les gangs font la loi, les immeubles sont détruits par les flammes. Dans ce décor d'apocalypse naît le hip-hop, qui va déferler sur la planète. Récit d'initiation, de violence, de révolte et de musique, Brûle est le roman d'une génération perdue, le roman musical d'une jeunesse en feu.
"Et c'est au Hevalo que Kool Herc a connu son illumination. Il s'est mis à enchaîner les parties rythmiques, les séquences qui rendaient dingues quand il les passait et dingues quand il ne les passait pas. Il posait deux copies du même disque sur les platines. Quand une séquence s'achevait d'un côté, il la faisait repartir de l'autre, le feu ne faiblissait pas. Il avait le compas dans l'œil, l'aiguille retombait pile dans le sillon, le vinyle craquait comme s'il se déchirait, les tympans sifflaient, et ça n'en était que meilleur. Plusieurs fois le même tremblement, la même cascade, le morceau s'ouvrait, le temps se dilatait, la musique tournait sur elle-même comme un cyclone dont on n'apercevait plus le cœur, les danseurs cherchaient l'équilibre sans savoir où la vague les projetterait.
Il avait trouvé un disque que personne ne connaissait, il en avait décollé l'étiquette et le cachait sous son sommier quand il dormait. Une reprise de " Apache " des Shadows dont il dirait plus tard qu'elle était l'hymne national du hip-hop. On aurait dit que la cavalerie débarquait, les cuivres sonnaient la charge dans un roulis de batterie et de percussions que Kool Herc prolongeait jusqu'à ce que la foule crie grâce. Il appelait ça " le manège ". Il attendait deux heures du matin, l'heure la plus brûlante de la nuit, pour nouer sa boucle, rajoutant de la vitesse à la vitesse, de l'écho à l'écho, de la transe à la transe, déroulant sous les pieds de ses fidèles une terre souple sur laquelle ils rebondissaient, une terre pour rivaliser d'audace et d'héroïsme, une terre pour s'envoler, faire des vrilles et des sauts périlleux.
Les mélodies s'effaçaient dans la scansion du rythme, le rythme infernal de la ville qui tremble, qui vacille et palpite, son cœur malade, son cœur vaillant, son battement obsédant, son squelette fendillé, son corps désossé, le corps maigre et juvénile de la ville qui renaît. Soudain on n'entendait plus les chanteurs, on n'y faisait plus attention, un espace vierge s'ouvrait devant nous, une nouvelle page comme une mer à traverser, un sable humide pour imprimer nos pas. Coke La Rock ne lâchait plus le micro, et d'autres le réclamaient à leur tour, ils se pressaient autour de lui, malgré les consignes et les menaces, ils se massaient autour des platines, ils sautaient sur l'estrade, ils étaient si nombreux que le sol menaçait de s'effondrer."
Pour Libération, entre 1985 et 2000, puis pour Télérama, Laurent Rigoulet a effectué de nombreux reportages sur l'Amérique noire et sa musique. Il a rencontré à New York les principaux protagonistes de la scène rap.
-
La bataille du rail ; cheminots en grève, écrivains solidaires
Collectif
- Don Quichotte
- Fiction
- 7 Juin 2018
- 9782359497311
Nous avons tous un rapport particulier avec le train, des souvenirs d'échappées belles, de rencontres cocasses, de paysages qui défilent, de baisers échangés sur un quai de gare, de voyages qui ont changé une vie...
C'est le cas d'une trentaine de plumes de la littérature française, qui souhaitent intervenir, au moyen de la fiction, en soutien à la grève engagée par les cheminots. Car la lutte des cheminots n'est pas une lutte corporatiste, elle cristallise au contraire l'idéal de solidarité, concrétisé par des services publics, de tout un peuple.
Avec Patrick Bard, Agnès Bihl, Laurent Binet, Geneviève Brisac, Bernard Chambaz, Didier Daeninckx, Abdelkader Djemaï, Bruno Doucey, Annie Ernaux, Pascale Fautrier, Patrick Fort, Valentine Goby, Nedim Gürsel, Hédi Kaddour, Leslie Kaplan, Jean-Marie Laclavetine, Lola Lafon, Hervé Le Corre, Sandra Lucbert, Mako, Roger Martin, Guillaume Meurice, Gérard Mordillat, François Morel, Grégoire Polet, Jean-Bernard Pouy, Patrick Raynal, Alix de Saint-André, Danièle Sallenave, Jean-Marc Salmon, Alain Serres, Shumona Sinha, Murielle Szac, Tardi, Carole Trébor et Philippe Videlier.
Les droits d'auteur seront reversés aux caisses de grève. -
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
... parce que vingt-quatre, c'est pas assez
Agnès Bihl
- Don Quichotte
- Fiction
- 5 Novembre 2013
- 9782359492835
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.
-
Agnès Bihl offre un extravagant moment d'émotions, où l'on croise des personnages de tous horizons, au détour d'une sieste crapuleuse, d'une gueule de bois assumée, d'une manif amoureuse, d'une conversation de comptoir... Bébé dans le ventre de sa maman, mort assistant à ses propres funérailles, couple en mal d'intimité, fêtarde invétérée, Don Juan pris à son propre piège, psychanalyste psychopathe, concierge sans humanité : totalement imaginés ou bien vivants, tous sont différents mais tous ont un lien, évoluant au gré de la plume bien pendue d'Agnès Bihl.